Aurelie Pancrate HYPNOSE 94 Psychothérapie Hypnose et énergétique
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22/10/2017 0 Commentaires

La voie transpersonnelle

Quand les noeuds du coeur se dénouent, la conscience retrouve sa plénitude
​C.Trungpa
Une vision globale de l’être humain et de la vie.
TRANS-PERSONNEL = dépassement de la notion ordinaire de personne et d’égo, pour accéder au Soi ou à l’Absolu.
Aujourd’hui, nombreuses sont les démarches qui évoquent la conscience. Cela marque réellement une évolution dans la connaissance humaine.
Le bien-être, le travail sur soi, la quête du bonheur et l’estime de soi sont des sujets d’actualité en cette période où l’être humain découvre la complexité de la vie et l’interdépendance des choses.
Cette prise de conscience constitue une étape primordiale pour tous ceux qui s’ouvrent à une autre perception du sens de l’existence.
La Spiritualité = une quête vers l’Essentiel
Si l’on regarde les différentes voies d’exploration de la conscience, nous voyons à la fois toute la richesse et toute la limite de la psychologie freudienne. Bien que fascinante, elle semble étriquée. Elle oublie le corps, elle oublie l’âme.
Une bonne connaissance de soi s’avère necessaire.
La psychologie transpersonnelle est une école qui inclut les démarches qui la précèdent en y ajoutant la dimension spirituelle. La psychologie transpersonnelle est une école qui se veut universelle, et globale.

C.G Jung fut le premier à utiliser le terme transpersonnel dans l’un de ces articles. Il est considéré comme le précurseur de la psychologie transpersonnelle.
Jung, très marqué par les philosophies orientales et par ses propres expériences, nous propose un autre modèle. Il introduit dans l’inconscient les notions de l’ombre, de l’animus et de l’anima, qui sont respectivement la dimension masculine et la dimension féminine présentes chez la femme et chez l’homme.
C’est dans la pensée orientale qu’il trouve cette science de la complémentarité, et plus exactement dans ces descriptions du yang atteignant sa force la plus grande pendant que le yin croit à l’intérieur de lui.
Ce jeu des polarités lui inspire un modèle psychologique d’une grande souplesse grâce auquel pourront enfin s’expliquer ces cas de patients dont l’inconscient (yin) réagit soudain par une crise névrotique inattendue au moment même où le conscient (yang) est au plus haut de sa forme et en pleine possession de ses moyens.
Mais, Jung, passionné par cette figuration chinoise des évolutions, y puisa un concept clé de sa psychologie : le dépassement des conflits intérieurs. Pour lui, en effet, les problèmes psychologiques graves restent insolubles par le moi, dans la mesure où ce n’est évidemment pas le moi limité et fractionné qui saurait jamais les résoudre. En revanche, ils peuvent être dépassés, puisque ce moi semble tout de même capable d’accepter de laisser agir le soi en lui. Et c’est ici toute la sagesse, chinoise et universelle, du wou-wei, du non-agir, que Jung veut réactualiser. Dans le domaine psychique, il faut pouvoir laisser advenir, affirme-t-il, ouvrant ainsi la voie à la notion d’autoguérison psychique qui sera par la suite si chère à Grof.
Jung élargit aussi la notion de l’inconscient individuel en découvrant l’inconscient collectif qui est structuré par les archétypes inconscients, les mythes et les symboles universels, héritage profond de l’humanité. Et il postule l’existence du Soi qui serait comme un centre unificateur de toutes les dimensions de l’être humain. Ce soi est très semblable à l’atma (âme) des indiens.
Il travaillera toute sa vie à une représentation de la psyché humaine dans sa complexité, à savoir ses rapports à la société, aux mythes, aux archétypes et aussi à la spiritualité.
A la suite de Jung, de nombreux chercheurs ont contribué à l’élaboration théorique de la psychologie transpersonnelle.
Jung, Assagioli et Maslow sont reconnus comme étant les inspirateurs de la psychologie transpersonnelle, qui propose une vision holistique de l’être humain.La personne est considérée avec ses quatre dimensions corps, coeur, pensée, âme. C’est l’intégration des quatre niveaux de conscience: physique, émotif, mental et spirituel.
Cette nouvelle psychologie poursuivie par Fromm, Frankl, Seligman, est révolutionnaire dans son approche en ce qu’elle s’intéresse à ce qui rend les gens heureux.
Son objectif est de :
développer la capacité d’aimer et d’être aimé, donner du sens à nos actions, être responsables de ce que nous pouvons changer, être résilients face à ce que nous ne pouvons pas éviter. apprendre à vivre plus heureux, accompagner l’évolution de la conscience, la psychologie transpersonnelle estime que le bonheur individuel n’est pas une attitude égoïste mais sert l’intérêt général. De fait, les gens heureux ont davantage tendance à effectuer des tâches bénévoles, à donner aux oeuvres caritatives, à apporter leur contribution à la communauté de multiples façons. Ce sont là des expressions de l’innocente beauté qui demeure en tout être. On l’appelle « le soi » ou « l’âme ».
Comme l’a remarqué un psychologue, la paix intérieure est un indicateur bien plus efficace que le quotient intellectuel pour évaluer les résultats de l’existence (réussite professionnelle et conjugale, bonheur en général) Mais avant tout la paix intérieure permet un épanouissement de l’âme. Cela se manifeste par un désir et un besoin de créer du bien-être dans la vie. Dans la vision des philosophes grecs l’âme représente la psyché. Selon les psychologues transpersonnels, l’âme est le Soi, cette dimension éternelle de la conscience.
L’âme se manifeste par l’amour, par l’intuition… La gratitude et le pardon sont également des manifestation de l’âme, donc des facteurs de bonheur. Selon plusieurs études récentes, les individus qui disent éprouver de la reconnaissance que ce soit envers les autres, Dieu, la nature ou la providence ont tendance à être en meilleure santé, à mieux réussir leur vie professionnelle et à être moins dépressifs que la moyenne de la population.
La psychologie trans-personnelle est concerné par ce qui existe au-delà du petit monde de la personnalité. L’approche transpersonnelle s’appuie sur une conception (paradigme) holistique de la vie, de l’être humain et du monde.
Point de rencontre de la psychologie contemporaine, des voies spirituelles et des dernières découvertes scientifiques en matière de réalité, elle présente une ouverture à toutes les voies favorisant la croissance de l’homme.
En tant que pratique, cette approche a pour objet le plein éveil de la conscience. Ainsi le mouvement transpersonnel déborde du cadre de la psychologie individuelle pour toucher toutes les sphères de l’activité humaine – société, écologie, philosophie, éducation, etc…

Roberto Assagioli (1888-1974), ami de Jung définit une synthèse de la psyché . L’approche de développement personnel qu’il conçoit vise l’intégration des quatre dimensions: corps, émotions, intellect et âme.
Son approche cherche à faire l’unité des éléments conflictuels par un travail de reconnaissance, d’acceptation et d’intégration.
Ce processus peut s’accomplir, disait-il, grâce à une force naturelle et profonde d’unification que nous possédons tous (appelée le Soi).
Ouverture d’esprit, fluidité, humanisme, compassion, créativité, engagement actif dans la société, ce sont là les aptitudes que la psychosynthèse se propose de développer chez l’être humain, en vue d’un épanouissement et d’une réalisation personnelle.
Il reconnait que l’univers estt organisé de manière à favoriser l’évolution de la conscience . Il suppose aussi que l’âme (le Soi), qui serait d’essence divine, cherche constamment à croitre da ns la conscience du moi.
Pour surmonter les conditionnements qui l’empêchent d’atteindre la plénitude de ses capacités essentielles, la personne doit d’abord les trouver et les reconnaitre sans les juger et encore moins les combattre – puis se dés-identifier d’eux.
Le travail de psychosynthèse amène aussi l’individu à analyser les désirs refoulés de son inconscient inférieur, à clarifier les choix de son moi conscient, et à être réceptif aux aspirations créatives et aux intuitions de son inconscient supérieur
La démarche d’Asaggioli consiste à aider l’individu à prendre conscience de ses multiples sous-personnalités inconscientes , à les apprivoiser, et à en réaliser la synthèse .
La méditation, l’écriture, des exercices de libération corporelle, de visualisation, de créativité, peuvent être utilisé.
Il prend en compte toutes les situations de la vie intérieure, familiale, sociale comme autant de voies d’accès.
Ajoutons qu’Asaggioli accorde à la volonté un role central dans le processus d’activation thérapeutique . Qu’elle paraisse l’alliée de notre projet de vie ou qu’elle semble s’y opposer, la volonté est toujours une importante manifestation du moi.
Sans le pardon, la vie est gouvernée par un cycle sans fin de ressentiment et de rancœur.
« La Psychosynthèse n’est pas une tâche qui peut être achevée, menant à un résultat final et statique, comme la finition d’une construction. La Psychosynthèse est un processus vital et dynamique, menant à des conquêtes intérieures toujours nouvelles, à une intégration toujours plus large ».
Le principe fondamental est que l’homme doit, avec courage, prendre conscience de tous les aspects inférieurs, obscurs, de son propre être, (que Jung a appelés l’ombre ), et les intégrer ensuite dans sa personnalité consciente. Autrement dit, pour créer un équilibre de nos fonctions psychiques et arriver ensuite à atténuer l’effet que cette zone d’ombre peut avoir sur nous, sur nos comportements. Cette reconnaissance et cette inclusion, sont des actes d’humilité et de puissance tout en même temps. Celui qui a le pouvoir de prendre conscience des cotés les plus bas de sa personnalité, sans en être submergé, accomplit une véritable conquête spirituelle.
Bibliographie:
Psychosynthèse, principes et techniques, épi éditeurs, Paris, 1976.
La Volonté libératrice
Pour l’harmonie de la vie – la psychosynthèse
Abraham Maslow (1908-1970) compte parmi les plus importants psychologues américains. Il fut en particulier la figure de proue de la psychologie humaniste et transpersonnelle.
Il a enseigné dans plusieurs universités et a présidé l’American Psychological Association à la fin de sa vie. Il a écrit plusieurs livres, dont L’accomplissement de soi et Vers une psychologie de l’etre.
Selon Maslow, les motivations d’une personne résultent de l’insatisfaction de certains de ses besoins
Ses travaux permettent de classer les besoins humains par ordre d’importance en 5 niveaux. ce classement correspond à l’ordre dans lequel ils apparaissent à l’individu; la satisfaction des besoins d’un niveau engendrant les besoins du niveau suivant.
L’idée est qu’on ne peut agir sur les motivations « supérieures » d’une personne, qu’elle soit adulte ou enfant, qu’à la condition expresse que ses motivations primaires (besoins physiologiques et de sécurité) soient satisfaites.
Base des théories humanistes: l’humain est vu comme un être fondamentalement bon se dirigeant vers son plein épanouissement (l’actualisation). Cette approche insiste sur l’importance de la conscience. Le but recherché par le psychologue humaniste est donc de permettre à tout individu de se mettre en contact avec ses émotions, ses perceptions, ces désirs afin de se réaliser pleinement, c’est-à-dire, atteindre l’actualisation de soi. Pour Maslow, le comportement manifeste notre désir conscient de croissance personnelle.
Les humanistes soulignent que certains individus peuvent tolérer la douleur, la faim et beaucoup d’événements qui sont sources de tension pour atteindre ce qu’ils considèrent comme un accomplissement personnel. Selon Maslow, les besoins humains sont organisés selon une hiérarchie où, à la base, on retrouve les besoins physiologiques élémentaires et à son sommet, on retrouve les besoins psychologiques et affectifs d’ordre supérieur. Ce sont ces besoins qui créent la motivation humaine.
Nous garderons la présentation habituelle sous forme de pyramide de la hiérarchie des besoins de l’homme définis par Maslow (même si la réalité n’est pas aussi statique,)
La première observation que l’on peut faire devant une pyramide c’est que, pour qu’elle tienne droite, elle doit avoir une base solide, car une erreur de construction du soubassement entrainera un affaissement de l’ensemble.
De même à chaque étage une anomalie de construction aura pour conséquence un effondrement des étages situés au-dessus et ainsi de suite jusqu’au sommet.
Mais, également, une faille étendue et profonde peut, à n’importe quel étage de la pyramide, avoir un effet destructeur de l’ensemble. Cette digression architecturale, permet une première approche de l’interdépendance des besoins.
– A la base de la pyramide on retrouve les besoins de maintien de la vie (respiration, alimentation, élimination, maintien de la température, repos et sommeil, activité musculaire et neurologique, contact corporel, vie sexuelle). Ces besoins sont fondamentaux.
En effet, un manque, une privation aura obligatoirement un impact sur les autres besoins, car la construction des étages supérieurs est alors impossible (ex : enfants du Sahel ; mais aussi une grande partie de l’humanité)
– L’étage au-dessus représente les besoins psychologiques : de sécurité (protection physique et psychologique, emploi, stabilité familiale et professionnelle), de propriété (avoir des choses et des lieux à soi) et de maitrise (pouvoir sur l’extérieur).
Un « chomeur », n’ayant pas de sécurité ne pourra pas facilement construire l’étage supérieur. De plus, si ce demandeur d’emploi ne touche pas d’indemnisation il aura des problèmes pour assurer ses besoins de maintien de la vie et la pyramide humaine s’écroulera.
– Le 3ème étage est représenté par les besoins sociaux : d’affectivité (être accepté tel que l’on est, recevoir et donner amour et tendresse, avoir des amis et un réseau de communication satisfaisant), d’estime de la part des autres (être reconnu comme ayant de la valeur) et d’appartenance (on vit en société et notre existence passe par l’acceptation des autres avec leurs différences, ainsi que par l’appartenance à un groupe).
Si ces besoins de base sont satisfaits, il y a apparition, selon ce que l’on appelle le principe d’émergence, d’autres besoins dits besoins secondaires de développement, qui sont plus de l’ordre de la réalisation de soi, comme être libre, que du comblement de manques.
– Le quatrième étage, c’est le besoin d’estime de soi-même : sentiment d’être utile et d’avoir de la valeur, point de départ de l’acceptation de soi et du développement de l’indépendance.
– Ce besoin une fois satisfait, on peut alors accéder au sommet de la pyramide, arriver à la réalisation de soi (accro’tre ses connaissances, développer ses valeurs, « faire du neuf », créer de la beauté, avoir une vie intérieure) et, « devenir ce que nous sommes « .
Chez de nombreux individus, ce besoin d’actualisation de soi comprend les besoins de compréhension cognitive (nouveauté, exploration, connaissance) et les besoins esthétiques (musique, art, beauté, ordre).
La psychologie transpersonnelle, dans son approche thérapeutique s’appuie sur cette pyramide des besoins pour accompagner l’évolution des individus.
Bibliographie:
– L’accomplissement de soi : De la motivation à la plénitude
– Etre humain, la nature humaine et sa plénitude
– Vers une psychologie de l’être, éditions fayard
Origine
Comment répondre à la question « Qu’est-ce que le Transpersonnel ? ».
La plus simple est de comprendre qu’il existe différents courants et diverses conceptions possibles du transpersonnel. Pour répondre de façon objective il vaut mieux reprendre l’histoire du mouvement transpersonnel.
Le transpersonnel est à la fois un terme récent et une réalité très ancienne, car il s’ancre dans toute l’ancienne spiritualité.
Le mouvement transpersonnel a été fondé dans les années 60, mais fondamentalement il existait depuis des siècles dans tout le travail des mystiques d’Orient et d’Occident.
On ne peut pas définir le transpersonnel sans reprendre l’histoire de la spiritualité en Occident, de même qu’on ne peut pas en rester à l’ancienne conception de la spiritualité sans préciser qu’elle débouche dans le Transpersonnel. Le Transpersonnel est une des voies les plus directes pour accéder à la spiritualité sans avoir l’obligation de passer forcément par une religion.
Le transpersonnel est le dépassement de la notion de personne.
Ce mot, employé par Emmanuel Mounier dès 1947, a connu un succès universel dans les années 70 avec l’étude des états modifiés de conscience. Le terme de « transpersonnel » qui a été choisi en 1969 par Abraham Maslow et défini très précisément par lui dans ses livres et articles (1964, 1968, 1971).
Sa définition est simple et claire, sans aucune équivoque. Il commence par une étude des motivations humaines qu’il classe hiérarchiquement en cinq niveaux : physiologique, de sécurité, d’intégration, d’estime de soi et de réalisation de soi.
C’est alors, qu’après une étude des expériences des sommets (peak-experience ), il découvre un sixième besoin, celui du dépassement de soi. Ce niveau supérieur regroupe toutes les expériences de dépassement de la personne humaine vers la Transcendance qu’il nomme un transpersonnel. Par delà le cinquième besoin d’actualisation de soi, se situe donc un besoin inaliénable de transcendance, le besoin d’une vie signifiante (value-life) qui, par delà les limites habituelles de l’identité humaine, pousse à se mettre au service des autres.
Ce niveau suprême est tellement important pour Maslow que l’on ne peut plus parler à son sujet de besoin ou de motivation, mais de métabesoins (metaneeds ) ou Besoin-Etre (Being-needs, B-needs ).
Ce sont les besoins de Vérité, de Beauté ou de Transcendance, qui constituent donc l’expérience des Valeurs.

Jiddu Krishnamurti est un grand philosophe et pédagogue, (1895,1986). Il a diffusé son enseignement et ses conseils dans le monde entier sous forme de causeries, d’entretiens et de lettres qui ont été publiés dans de nombreux ouvrages. L’enseignement de Krishnamurti repose sur l’observation des obstacles et des conditionnements qui aliènent l’esprit. Pour lui la vie est une réalité sans limite car elle englobe l’univers tout entier avec les hommes, la nature, les animaux, le ciel, etc… Tout ce qui existe constitue la vie et nous faisons donc partie de cette vie illimitée, de ce tout. Le conditionnement, nos petites croyances personnelles, nos attachements, notre petit moi mesquin individualisé nous empêchent de percevoir l’unité et l’immensité de la vie, du monde.
« La vérité est un pays sans chemin. L’homme ne peut l’atteindre par le biais d’aucune organisation, d’aucun credo, d’aucun dogme, d’aucun prêtre, d’aucun rituel, ni par le biais d’aucune connaissance philosophique ou d’aucune technique psychologique.
Il doit la découvrir dans le miroir de la relation, dans la compréhension des contenus de son propre esprit, par l’observation et non pas par l’analyse intellectuelle ou la dissection introspective.  »
« Quand l’homme percevra le mouvement de sa propre conscience il verra la division entre le penseur et la pensée, l’observateur et l’observé, l’expérimentateur et l’expérience. Il découvrira que cette division est une illusion. Alors seulement apparait la pure observation qui est vision directe, sans aucune ombre provenant du passé. Cette vision pénétrante, hors du temps, produit dans l’esprit un changement profond et radical. »
Krishnamurti n’élabore pas de nouvelles théories ou de nouveaux concepts. Il remet en cause la pensée en tant qu’instrument de recherche intérieure.
« La pensée est temps. La pensée est née de l’expérience, du savoir, inséparables du temps. Le temps est l’ennemi psychologique de l’homme. Notre action est basée sur le savoir et donc sur le temps, ainsi l’homme se trouve toujours esclave du passé. »
» C’est dans l’observation que l’on commence à découvrir le manque de liberté. La liberté se trouve dans une attention vigilante et sans choix au cours de notre existence quotidienne. »

​source : https://transpersonnel.net/a-propos/

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    Aurélie Pancrate

    Psychopraticienne et Hypnothérapeute à Nogent sur Marne

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