Aurelie Pancrate HYPNOSE 94 Psychothérapie Hypnose et énergétique
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7/3/2023 0 Commentaires

Crise d'angoisse : 7 erreurs à éviter

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15/2/2023 0 Commentaires

Maladies mentales et immunologie... tout n'est pas que dans la tête!

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1/6/2022 0 Commentaires

Récit d’une expérience hypnotique (blessure d’abandon et rejet)

Lors d’une séance d’hypnose, la personne venue consulter a voulu travailler le thème de la blessure d’abandon et de rejet (souvent associées). Je vais employer le « nous » car souvent je perçois les constructions mentales des personnes que j’accompagne. Pour préciser je n’ai pas fais de suggestions d’aller à un endroit précis, nous avons simplement suivie la construction que proposait la psyché.
Nous nous somme retrouvées dans un lieux sous terre et ouvert, une sorte de gouffre (Padirac mélangé à Baatara dans l’idee).
Il y avait une énorme cascade, de la végétation au mur, des bruits d’oiseaux qui raisonnaient, une sensation d’humidité couplée à une odeur de végétation. A l’extérieur une terre désertique avec une vue au loin d’une cité, une ville moderne avec d’immenses buildings.
En apparence un vrai paradis sous terre à l’abris de la surpopulation. Un paradis… pas tant que cela… en poursuivant, nous apprenons que ce lieu si idyllique est en réalité une caldera (un volcan) et que c’est d’une dangerosité sans nom.
L’information que des barils entreposés en quantité nous parivient, ils sont remplis de colère, et prêts à exploser à la moindre étincelle. 
Pourquoi rester ici? La réponse qui vient, est la sensation de ne rien avoir en commun avec le reste des mortels qui vivent dans la  cité à proximité, qu’il y est difficile de s’y intégrer, alors autant rester seule à l’extérieur. 
La décision prise de faire différemment est en cours, les barils explosent, le gouffre se referme. Il est impossible de se mélanger avec les citadins, trop de différences…
Une échelle vers le ciel apparaît, elle nous emmène à un château sur un nuage, ceci est un nouveau lieu de résidence. Perchée au dessus de la ville, il y toujours cette sensation de solitude qui règne… 
Aux alentours, d’autres nuages avec des châteaux posés dessus, peut-être des personnes avec lesquelles il y aura des similitudes. Nous accrochons les nuages avec des ponts-levis,une cité dans le ciel prend forme, des êtres apparaissent et viennent à la rencontre, un nouveau voisinage plus cohérent est ressenti, une sensation d’affinités se dégage.
Y a-t’il d’autres choses à compléter? A priori non, fin de la visualisation.
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17/4/2019 0 Commentaires

La loi de l'attraction

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14/12/2018 1 Commentaire

L'IMPORTANCE D’ÊTRE SOI...

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​"N'ESSAIE PAS D'ÊTRE UTILE. ESSAIE D'ÊTRE TOI..." ​

​Phrase qui peut tourner en boucle dans ma tête! Oui je veux être moi et pourtant parfois on j'ai l'impression d'agir comme quelqu'un d'autre... mais pourquoi?
Souvent lorsque l'on agit, pour quelques raisons que ce soient, des milliards de choses impactent notre façon de faire, et particulièrement la société, le regard de l'autre, le jugement qu'il en aura... Et sans même s’en rendre compte on essaie de se calquer à ce que cette société voudrait bien que l'on soit, et parfois avec beaucoup de subtilité celle-ci arrive a nous faire croire que certaines décisions viennent du fond de notre être... et lorsque l'on y réfléchis bien elles viennent surtout de notre cerveau, ce mental bien accroché aux règles et aux valeurs sociétales.
NON je ne rentrerai pas dans ce moule à tarte! Je ne suis pas là pour plaire mais pour Être et je sais que cela ne plaira pas à tout le monde... Même s'il est parfois facile de se dire "merde je suis ce que je suis", dans le fond, avoir de l'entourage proche ou pas, des inconnus etc etc qui jugent et critiquent mes choix c'est quand même pas une mince affaire, parfois ça pique, et cela m'a conduit à faire des choix juste pour faire "plaisir". Ce temps là est révolu! Enfin c'est le chemin que j'ai décidé de prendre comme une grande.

​LE TRAVAIL DE SOI

​Le cheminement d’être en phase avec soi-même est une priorité de vie en général et donc aussi dans le cadre du travail. Et pourtant, nombreux sont ceux qui travaillent pour avoir de l’argent, une sécurité... sans s’y plaire, ni s’épanouir... Et c’est bien dommage.
L'importance de regarder à l'intérieur et d'identifier ce pour quoi nous sommes fait. J'adore entendre de la part des acteurs ou encore chanteurs que leur famille ne voulait pas qu'ils suivent cette carrière car ce n'est pas un métier convenable, ou carrément pas un métier, ou encore que cela est précaire. Ils ont tout simplement suivis leur voix/voie sans se préoccuper du reste. Certes parfois la vie n'est pas toute rose et nous en fait voir de toutes les couleurs... chaque expérience est là pour apporter quelques chose, c'est un message pour continuer d'avancer sur son chemin de vie. La réussite repose sur le fait qu'il faut mettre de côté le mental qui s'est construit avec toutes ces règles imposées, quelles carrières sont "mieux", plus intellectuellement convenables, plus sécuritaire...
​Certes sans forcément tout plaquer d'un coup et d'aller élever des chèvres en montagne ( même si certains fonctionnent comme cela).
La réussite est une chose très personnelle, et sans concurrence. Le voisin n'aura pas la même réussite car il a un chemin de vie différent. La réussite commence lorsque la question se pose. 

​TOMBER LE MASQUE

​Être soi pour soi et tomber le masque en société nécessite également du courage. Lorsqu'il y à recherche d'emploi par exemple, on est tenté par le fait de vouloir calqué à l'annonce pour pouvoir être prit. Mais finalement sur quoi s'appuie le recruteur pour sa sélection au delà de ce qu'il demande? Le feeling certainement quelque part. D’où l'intérêt d'être honnête (surtout avec soi-même ^^).
Ce qui m'a poussé à écrire cet article c'est la lettre de motivation d'une amie. Cette lettre est d'une évidence, et pourtant peut de personne réussissent à être aussi transparent.
Le poste en question provient d'une start-up qui recherche un employé polyvalent. Des connaissances en soudure et en électricité sont notifiées sans pour autant être obligatoire. Voici la lettre envoyée en réponse à l'annonce:
​Messieurs,
suite à l'annonce que vous avez fait paraître, je me permets de vous soumettre ma candidature pour le poste d'opérateur polyvalent.

​En toute sincérité, la soudure à l'étain se limite à une attente téléphonique créée lors de mon année de cinquième et ma connaissance électrique à une rallonge réparée avec les moyens du bord pour me faire un brushing. Cependant, je suis une touche à tout, manuelle et créative j'aime travailler sérieusement sans me prendre au sérieux.
Que ce soit en équipe, seule, pour un employeur ou pour un projet personnel, le plus important pour moi est de croire en ce pour quoi je travaille.

Formules de politesses...
​Le ton est donné, il est sincère et ne promet rien! Combien de lettres de motivation ont été écrites en essayant de calquer à l’annonce pour dire « regardez-moi je suis parfait... » alors que pas du tout... auquel cas on ne ressent aucune motivation en la parcourant. Et le problème est bien là, être VRAI, et envers soi et envers l’autre. Combien d’entre nous essaie quotidiennement de se persuader que tel ou tel job est idéal? Qu’est-ce qui nous pousse à penser cela? Au nom d’une soi-disant sécurité ? Au nom de toutes ces normes qui nous ont construits?
Cette lettre est le fruit de la sincérité, cette lettre ne s’attend à rien, et ne promet rien.
La finalité est que l’entreprise a répondu illico presto pour rencontrer son auteure et a fait des essais qui ont été concluants. GOOD JOB.
Je félicite cette personne qui se reconnaîtra et qui est toujours en poste à l’heure actuelle, pour une durée indéterminée.
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22/10/2017 0 Commentaires

La voie transpersonnelle

Quand les noeuds du coeur se dénouent, la conscience retrouve sa plénitude
​C.Trungpa
Une vision globale de l’être humain et de la vie.
TRANS-PERSONNEL = dépassement de la notion ordinaire de personne et d’égo, pour accéder au Soi ou à l’Absolu.
Aujourd’hui, nombreuses sont les démarches qui évoquent la conscience. Cela marque réellement une évolution dans la connaissance humaine.
Le bien-être, le travail sur soi, la quête du bonheur et l’estime de soi sont des sujets d’actualité en cette période où l’être humain découvre la complexité de la vie et l’interdépendance des choses.
Cette prise de conscience constitue une étape primordiale pour tous ceux qui s’ouvrent à une autre perception du sens de l’existence.
La Spiritualité = une quête vers l’Essentiel
Si l’on regarde les différentes voies d’exploration de la conscience, nous voyons à la fois toute la richesse et toute la limite de la psychologie freudienne. Bien que fascinante, elle semble étriquée. Elle oublie le corps, elle oublie l’âme.
Une bonne connaissance de soi s’avère necessaire.
La psychologie transpersonnelle est une école qui inclut les démarches qui la précèdent en y ajoutant la dimension spirituelle. La psychologie transpersonnelle est une école qui se veut universelle, et globale.

C.G Jung fut le premier à utiliser le terme transpersonnel dans l’un de ces articles. Il est considéré comme le précurseur de la psychologie transpersonnelle.
Jung, très marqué par les philosophies orientales et par ses propres expériences, nous propose un autre modèle. Il introduit dans l’inconscient les notions de l’ombre, de l’animus et de l’anima, qui sont respectivement la dimension masculine et la dimension féminine présentes chez la femme et chez l’homme.
C’est dans la pensée orientale qu’il trouve cette science de la complémentarité, et plus exactement dans ces descriptions du yang atteignant sa force la plus grande pendant que le yin croit à l’intérieur de lui.
Ce jeu des polarités lui inspire un modèle psychologique d’une grande souplesse grâce auquel pourront enfin s’expliquer ces cas de patients dont l’inconscient (yin) réagit soudain par une crise névrotique inattendue au moment même où le conscient (yang) est au plus haut de sa forme et en pleine possession de ses moyens.
Mais, Jung, passionné par cette figuration chinoise des évolutions, y puisa un concept clé de sa psychologie : le dépassement des conflits intérieurs. Pour lui, en effet, les problèmes psychologiques graves restent insolubles par le moi, dans la mesure où ce n’est évidemment pas le moi limité et fractionné qui saurait jamais les résoudre. En revanche, ils peuvent être dépassés, puisque ce moi semble tout de même capable d’accepter de laisser agir le soi en lui. Et c’est ici toute la sagesse, chinoise et universelle, du wou-wei, du non-agir, que Jung veut réactualiser. Dans le domaine psychique, il faut pouvoir laisser advenir, affirme-t-il, ouvrant ainsi la voie à la notion d’autoguérison psychique qui sera par la suite si chère à Grof.
Jung élargit aussi la notion de l’inconscient individuel en découvrant l’inconscient collectif qui est structuré par les archétypes inconscients, les mythes et les symboles universels, héritage profond de l’humanité. Et il postule l’existence du Soi qui serait comme un centre unificateur de toutes les dimensions de l’être humain. Ce soi est très semblable à l’atma (âme) des indiens.
Il travaillera toute sa vie à une représentation de la psyché humaine dans sa complexité, à savoir ses rapports à la société, aux mythes, aux archétypes et aussi à la spiritualité.
A la suite de Jung, de nombreux chercheurs ont contribué à l’élaboration théorique de la psychologie transpersonnelle.
Jung, Assagioli et Maslow sont reconnus comme étant les inspirateurs de la psychologie transpersonnelle, qui propose une vision holistique de l’être humain.La personne est considérée avec ses quatre dimensions corps, coeur, pensée, âme. C’est l’intégration des quatre niveaux de conscience: physique, émotif, mental et spirituel.
Cette nouvelle psychologie poursuivie par Fromm, Frankl, Seligman, est révolutionnaire dans son approche en ce qu’elle s’intéresse à ce qui rend les gens heureux.
Son objectif est de :
développer la capacité d’aimer et d’être aimé, donner du sens à nos actions, être responsables de ce que nous pouvons changer, être résilients face à ce que nous ne pouvons pas éviter. apprendre à vivre plus heureux, accompagner l’évolution de la conscience, la psychologie transpersonnelle estime que le bonheur individuel n’est pas une attitude égoïste mais sert l’intérêt général. De fait, les gens heureux ont davantage tendance à effectuer des tâches bénévoles, à donner aux oeuvres caritatives, à apporter leur contribution à la communauté de multiples façons. Ce sont là des expressions de l’innocente beauté qui demeure en tout être. On l’appelle « le soi » ou « l’âme ».
Comme l’a remarqué un psychologue, la paix intérieure est un indicateur bien plus efficace que le quotient intellectuel pour évaluer les résultats de l’existence (réussite professionnelle et conjugale, bonheur en général) Mais avant tout la paix intérieure permet un épanouissement de l’âme. Cela se manifeste par un désir et un besoin de créer du bien-être dans la vie. Dans la vision des philosophes grecs l’âme représente la psyché. Selon les psychologues transpersonnels, l’âme est le Soi, cette dimension éternelle de la conscience.
L’âme se manifeste par l’amour, par l’intuition… La gratitude et le pardon sont également des manifestation de l’âme, donc des facteurs de bonheur. Selon plusieurs études récentes, les individus qui disent éprouver de la reconnaissance que ce soit envers les autres, Dieu, la nature ou la providence ont tendance à être en meilleure santé, à mieux réussir leur vie professionnelle et à être moins dépressifs que la moyenne de la population.
La psychologie trans-personnelle est concerné par ce qui existe au-delà du petit monde de la personnalité. L’approche transpersonnelle s’appuie sur une conception (paradigme) holistique de la vie, de l’être humain et du monde.
Point de rencontre de la psychologie contemporaine, des voies spirituelles et des dernières découvertes scientifiques en matière de réalité, elle présente une ouverture à toutes les voies favorisant la croissance de l’homme.
En tant que pratique, cette approche a pour objet le plein éveil de la conscience. Ainsi le mouvement transpersonnel déborde du cadre de la psychologie individuelle pour toucher toutes les sphères de l’activité humaine – société, écologie, philosophie, éducation, etc…

Roberto Assagioli (1888-1974), ami de Jung définit une synthèse de la psyché . L’approche de développement personnel qu’il conçoit vise l’intégration des quatre dimensions: corps, émotions, intellect et âme.
Son approche cherche à faire l’unité des éléments conflictuels par un travail de reconnaissance, d’acceptation et d’intégration.
Ce processus peut s’accomplir, disait-il, grâce à une force naturelle et profonde d’unification que nous possédons tous (appelée le Soi).
Ouverture d’esprit, fluidité, humanisme, compassion, créativité, engagement actif dans la société, ce sont là les aptitudes que la psychosynthèse se propose de développer chez l’être humain, en vue d’un épanouissement et d’une réalisation personnelle.
Il reconnait que l’univers estt organisé de manière à favoriser l’évolution de la conscience . Il suppose aussi que l’âme (le Soi), qui serait d’essence divine, cherche constamment à croitre da ns la conscience du moi.
Pour surmonter les conditionnements qui l’empêchent d’atteindre la plénitude de ses capacités essentielles, la personne doit d’abord les trouver et les reconnaitre sans les juger et encore moins les combattre – puis se dés-identifier d’eux.
Le travail de psychosynthèse amène aussi l’individu à analyser les désirs refoulés de son inconscient inférieur, à clarifier les choix de son moi conscient, et à être réceptif aux aspirations créatives et aux intuitions de son inconscient supérieur
La démarche d’Asaggioli consiste à aider l’individu à prendre conscience de ses multiples sous-personnalités inconscientes , à les apprivoiser, et à en réaliser la synthèse .
La méditation, l’écriture, des exercices de libération corporelle, de visualisation, de créativité, peuvent être utilisé.
Il prend en compte toutes les situations de la vie intérieure, familiale, sociale comme autant de voies d’accès.
Ajoutons qu’Asaggioli accorde à la volonté un role central dans le processus d’activation thérapeutique . Qu’elle paraisse l’alliée de notre projet de vie ou qu’elle semble s’y opposer, la volonté est toujours une importante manifestation du moi.
Sans le pardon, la vie est gouvernée par un cycle sans fin de ressentiment et de rancœur.
« La Psychosynthèse n’est pas une tâche qui peut être achevée, menant à un résultat final et statique, comme la finition d’une construction. La Psychosynthèse est un processus vital et dynamique, menant à des conquêtes intérieures toujours nouvelles, à une intégration toujours plus large ».
Le principe fondamental est que l’homme doit, avec courage, prendre conscience de tous les aspects inférieurs, obscurs, de son propre être, (que Jung a appelés l’ombre ), et les intégrer ensuite dans sa personnalité consciente. Autrement dit, pour créer un équilibre de nos fonctions psychiques et arriver ensuite à atténuer l’effet que cette zone d’ombre peut avoir sur nous, sur nos comportements. Cette reconnaissance et cette inclusion, sont des actes d’humilité et de puissance tout en même temps. Celui qui a le pouvoir de prendre conscience des cotés les plus bas de sa personnalité, sans en être submergé, accomplit une véritable conquête spirituelle.
Bibliographie:
Psychosynthèse, principes et techniques, épi éditeurs, Paris, 1976.
La Volonté libératrice
Pour l’harmonie de la vie – la psychosynthèse
Abraham Maslow (1908-1970) compte parmi les plus importants psychologues américains. Il fut en particulier la figure de proue de la psychologie humaniste et transpersonnelle.
Il a enseigné dans plusieurs universités et a présidé l’American Psychological Association à la fin de sa vie. Il a écrit plusieurs livres, dont L’accomplissement de soi et Vers une psychologie de l’etre.
Selon Maslow, les motivations d’une personne résultent de l’insatisfaction de certains de ses besoins
Ses travaux permettent de classer les besoins humains par ordre d’importance en 5 niveaux. ce classement correspond à l’ordre dans lequel ils apparaissent à l’individu; la satisfaction des besoins d’un niveau engendrant les besoins du niveau suivant.
L’idée est qu’on ne peut agir sur les motivations « supérieures » d’une personne, qu’elle soit adulte ou enfant, qu’à la condition expresse que ses motivations primaires (besoins physiologiques et de sécurité) soient satisfaites.
Base des théories humanistes: l’humain est vu comme un être fondamentalement bon se dirigeant vers son plein épanouissement (l’actualisation). Cette approche insiste sur l’importance de la conscience. Le but recherché par le psychologue humaniste est donc de permettre à tout individu de se mettre en contact avec ses émotions, ses perceptions, ces désirs afin de se réaliser pleinement, c’est-à-dire, atteindre l’actualisation de soi. Pour Maslow, le comportement manifeste notre désir conscient de croissance personnelle.
Les humanistes soulignent que certains individus peuvent tolérer la douleur, la faim et beaucoup d’événements qui sont sources de tension pour atteindre ce qu’ils considèrent comme un accomplissement personnel. Selon Maslow, les besoins humains sont organisés selon une hiérarchie où, à la base, on retrouve les besoins physiologiques élémentaires et à son sommet, on retrouve les besoins psychologiques et affectifs d’ordre supérieur. Ce sont ces besoins qui créent la motivation humaine.
Nous garderons la présentation habituelle sous forme de pyramide de la hiérarchie des besoins de l’homme définis par Maslow (même si la réalité n’est pas aussi statique,)
La première observation que l’on peut faire devant une pyramide c’est que, pour qu’elle tienne droite, elle doit avoir une base solide, car une erreur de construction du soubassement entrainera un affaissement de l’ensemble.
De même à chaque étage une anomalie de construction aura pour conséquence un effondrement des étages situés au-dessus et ainsi de suite jusqu’au sommet.
Mais, également, une faille étendue et profonde peut, à n’importe quel étage de la pyramide, avoir un effet destructeur de l’ensemble. Cette digression architecturale, permet une première approche de l’interdépendance des besoins.
– A la base de la pyramide on retrouve les besoins de maintien de la vie (respiration, alimentation, élimination, maintien de la température, repos et sommeil, activité musculaire et neurologique, contact corporel, vie sexuelle). Ces besoins sont fondamentaux.
En effet, un manque, une privation aura obligatoirement un impact sur les autres besoins, car la construction des étages supérieurs est alors impossible (ex : enfants du Sahel ; mais aussi une grande partie de l’humanité)
– L’étage au-dessus représente les besoins psychologiques : de sécurité (protection physique et psychologique, emploi, stabilité familiale et professionnelle), de propriété (avoir des choses et des lieux à soi) et de maitrise (pouvoir sur l’extérieur).
Un « chomeur », n’ayant pas de sécurité ne pourra pas facilement construire l’étage supérieur. De plus, si ce demandeur d’emploi ne touche pas d’indemnisation il aura des problèmes pour assurer ses besoins de maintien de la vie et la pyramide humaine s’écroulera.
– Le 3ème étage est représenté par les besoins sociaux : d’affectivité (être accepté tel que l’on est, recevoir et donner amour et tendresse, avoir des amis et un réseau de communication satisfaisant), d’estime de la part des autres (être reconnu comme ayant de la valeur) et d’appartenance (on vit en société et notre existence passe par l’acceptation des autres avec leurs différences, ainsi que par l’appartenance à un groupe).
Si ces besoins de base sont satisfaits, il y a apparition, selon ce que l’on appelle le principe d’émergence, d’autres besoins dits besoins secondaires de développement, qui sont plus de l’ordre de la réalisation de soi, comme être libre, que du comblement de manques.
– Le quatrième étage, c’est le besoin d’estime de soi-même : sentiment d’être utile et d’avoir de la valeur, point de départ de l’acceptation de soi et du développement de l’indépendance.
– Ce besoin une fois satisfait, on peut alors accéder au sommet de la pyramide, arriver à la réalisation de soi (accro’tre ses connaissances, développer ses valeurs, « faire du neuf », créer de la beauté, avoir une vie intérieure) et, « devenir ce que nous sommes « .
Chez de nombreux individus, ce besoin d’actualisation de soi comprend les besoins de compréhension cognitive (nouveauté, exploration, connaissance) et les besoins esthétiques (musique, art, beauté, ordre).
La psychologie transpersonnelle, dans son approche thérapeutique s’appuie sur cette pyramide des besoins pour accompagner l’évolution des individus.
Bibliographie:
– L’accomplissement de soi : De la motivation à la plénitude
– Etre humain, la nature humaine et sa plénitude
– Vers une psychologie de l’être, éditions fayard
Origine
Comment répondre à la question « Qu’est-ce que le Transpersonnel ? ».
La plus simple est de comprendre qu’il existe différents courants et diverses conceptions possibles du transpersonnel. Pour répondre de façon objective il vaut mieux reprendre l’histoire du mouvement transpersonnel.
Le transpersonnel est à la fois un terme récent et une réalité très ancienne, car il s’ancre dans toute l’ancienne spiritualité.
Le mouvement transpersonnel a été fondé dans les années 60, mais fondamentalement il existait depuis des siècles dans tout le travail des mystiques d’Orient et d’Occident.
On ne peut pas définir le transpersonnel sans reprendre l’histoire de la spiritualité en Occident, de même qu’on ne peut pas en rester à l’ancienne conception de la spiritualité sans préciser qu’elle débouche dans le Transpersonnel. Le Transpersonnel est une des voies les plus directes pour accéder à la spiritualité sans avoir l’obligation de passer forcément par une religion.
Le transpersonnel est le dépassement de la notion de personne.
Ce mot, employé par Emmanuel Mounier dès 1947, a connu un succès universel dans les années 70 avec l’étude des états modifiés de conscience. Le terme de « transpersonnel » qui a été choisi en 1969 par Abraham Maslow et défini très précisément par lui dans ses livres et articles (1964, 1968, 1971).
Sa définition est simple et claire, sans aucune équivoque. Il commence par une étude des motivations humaines qu’il classe hiérarchiquement en cinq niveaux : physiologique, de sécurité, d’intégration, d’estime de soi et de réalisation de soi.
C’est alors, qu’après une étude des expériences des sommets (peak-experience ), il découvre un sixième besoin, celui du dépassement de soi. Ce niveau supérieur regroupe toutes les expériences de dépassement de la personne humaine vers la Transcendance qu’il nomme un transpersonnel. Par delà le cinquième besoin d’actualisation de soi, se situe donc un besoin inaliénable de transcendance, le besoin d’une vie signifiante (value-life) qui, par delà les limites habituelles de l’identité humaine, pousse à se mettre au service des autres.
Ce niveau suprême est tellement important pour Maslow que l’on ne peut plus parler à son sujet de besoin ou de motivation, mais de métabesoins (metaneeds ) ou Besoin-Etre (Being-needs, B-needs ).
Ce sont les besoins de Vérité, de Beauté ou de Transcendance, qui constituent donc l’expérience des Valeurs.

Jiddu Krishnamurti est un grand philosophe et pédagogue, (1895,1986). Il a diffusé son enseignement et ses conseils dans le monde entier sous forme de causeries, d’entretiens et de lettres qui ont été publiés dans de nombreux ouvrages. L’enseignement de Krishnamurti repose sur l’observation des obstacles et des conditionnements qui aliènent l’esprit. Pour lui la vie est une réalité sans limite car elle englobe l’univers tout entier avec les hommes, la nature, les animaux, le ciel, etc… Tout ce qui existe constitue la vie et nous faisons donc partie de cette vie illimitée, de ce tout. Le conditionnement, nos petites croyances personnelles, nos attachements, notre petit moi mesquin individualisé nous empêchent de percevoir l’unité et l’immensité de la vie, du monde.
« La vérité est un pays sans chemin. L’homme ne peut l’atteindre par le biais d’aucune organisation, d’aucun credo, d’aucun dogme, d’aucun prêtre, d’aucun rituel, ni par le biais d’aucune connaissance philosophique ou d’aucune technique psychologique.
Il doit la découvrir dans le miroir de la relation, dans la compréhension des contenus de son propre esprit, par l’observation et non pas par l’analyse intellectuelle ou la dissection introspective.  »
« Quand l’homme percevra le mouvement de sa propre conscience il verra la division entre le penseur et la pensée, l’observateur et l’observé, l’expérimentateur et l’expérience. Il découvrira que cette division est une illusion. Alors seulement apparait la pure observation qui est vision directe, sans aucune ombre provenant du passé. Cette vision pénétrante, hors du temps, produit dans l’esprit un changement profond et radical. »
Krishnamurti n’élabore pas de nouvelles théories ou de nouveaux concepts. Il remet en cause la pensée en tant qu’instrument de recherche intérieure.
« La pensée est temps. La pensée est née de l’expérience, du savoir, inséparables du temps. Le temps est l’ennemi psychologique de l’homme. Notre action est basée sur le savoir et donc sur le temps, ainsi l’homme se trouve toujours esclave du passé. »
» C’est dans l’observation que l’on commence à découvrir le manque de liberté. La liberté se trouve dans une attention vigilante et sans choix au cours de notre existence quotidienne. »

​source : https://transpersonnel.net/a-propos/

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18/8/2017 0 Commentaires

Lorsque les maux du corps remplacent les mots...

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 Le moyen le plus simple pour l'être humain de communiquer est de le faire par la parole. Chaque mot trouve sa signification et une signification peut avoir plusieurs mots pour la désigner. Mais qu'en est-il de notre corps? Lui tente aussi de communiquer... mais avec ses "maux". Lorsque une partie de l'être n'est pas en adéquation avec ce qu'il y a au plus profond lui, le corps se charge de faire passer le message. Tant que celui-ci n'est pas compris le symptôme engendré persiste... Encore faut-il pouvoir décoder les messages.
Par exemple les genoux, qui sont des articulations qui nous font nous plier, nous agenouiller.  Les genoux représentent le degré de flexibilité d'un individu et servent à amortir les chocs tels des amortisseurs. S'il y a difficulté a plier les genoux cela peut signifier une certaine rigidité que l'on doit certainement à l'ego. Un genou qui plie facilement est un signe d'humilité et de flexibilité. L'inflammation ou la douleur dans les genoux peut indiquer une rigidité face à l'autorité ou par rapport au système de lois en vigueur. Enfin c'est aussi le "je nous" , le "nous" qui peut être représentatif des différentes instances de l'individus (moi, surmoi, ça, persona, animus ou anima) qui tendent à s'unifier et aller dans la même direction.
Chaque partie du corps a une signification globale, que l'on peut associer à sa propre histoire pour tenter de décoder le message. S'écouter, écouter son corps peut prendre un certains temps, et c'est la meilleure chose que l'on peut faire pour soi. Ne pas forcer lorsque le corps dit "aïe", mais ne pas forcer lorsque le "moi" profond ne veut pas non plus... Voilà le premier pas vers soi...
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5/3/2017 1 Commentaire

LE MAGNÉTISME POUR PRÉVENIR LA MALADIE

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Le magnétisme, qui n’est rien d’autre que la médecine énergétique occidentale, soulage un grand nombre de personnes. Mais pourquoi y avoir recours uniquement quand apparaissent des symptômes pénibles ?

Les magnétiseurs, souvent appelés guérisseurs, ont toujours existé en France. Le magnétisme repose sur le fait que certains individus sont en mesure d’utiliser un fluide magnétique qui passerait à travers eux pour être transmis à une autre personne dans le but de la soulager. Il rejoint ainsi la notion d’énergie vitale présente dans les traditions du monde entier. En Inde, on l’appelle le prana, en Chine le chi, au Japon le ki…

Il semble évident que l’énergie se trouve partout : à l’intérieur et à l’extérieur de chacun d’entre nous. L’être humain serait donc un véhicule d’énergie. Pour que l’organisme humain fonctionne au mieux, cette énergie doit alors circuler correctement. Le rôle du magnétiseur est d’avoir une action sur le « corps énergétique » d’un individu. Dès les années 1950, le professeur L. Desrobert, un médecin légiste réputé, le définissait comme « un agent physique d’une espèce particulière, source de vie des organes et des cellules. Il peut être transmis à ceux qui sont malades par l’intermédiaire d’un magnétiseur qui en est surchargé… Le fluide passant au travers de ses doigts et de ses mains, pénètre dans l’organisme du malade tout comme pénètrent le courant électrique, les rayons X, les radiations lumineuses et les ultrasons. » Le magnétiseur Philippe Sorstein* l’analyse un peu différemment : « Ce n’est pas notre propre énergie que nous transmettons, nous servons de canal, elle nous traverse et va nous nourrir et nourrir celui qui vient consulter. »

 
Une ressource pour guérir

Toutes les parties d’un être humain étant liées, en agissant sur le corps énergétique, les bienfaits du magnétisme se répercutent sur le physique ou le psychisme. Mais le magnétiseur ne possède pas directement de pouvoir de guérison. Jean-Luc Bartoli, magnétiseur exerçant à Saint-Brieuc, en Bretagne, explique : « Je ne guéris rien. J’insuffle une énergie nouvelle dans le corps du patient, grâce à laquelle il va retrouver le chemin de la guérison, s’il le peut. Les résultats obtenus, même lorsqu’ils sont inespérés, ne tiennent pas du miracle. »

Partant du principe que les vibrations électriques ou les radiations émises par un corps doivent être équilibrées, l’action du magnétiseur consiste d’abord à localiser l’organe qui émet des signaux anormaux pour ensuite tenter d’en trouver l’origine. Ainsi l’action du magnétiseur est efficace pour soulager une douleur, favoriser la guérison d’une maladie ou remettre en place une fonction de l’organisme. Mais, on n’en parle pas assez, le magnétisme peut aussi intervenir à titre préventif. Jean-Luc Bartoli témoigne : « Lorsqu’on fait une séance avant une intervention chirurgicale les personnes récupèrent plus vite, cicatrisent mieux, utilisent moins d’antidouleurs, sont moins angoissées face à l’opération et restent moins longtemps à l’hôpital. Aux États-Unis, dans certains hôpitaux, les magnétiseurs prennent en charge les patients avant, pendant et après les opérations car les médecins constatent moins de maladies nosocomiales. »


Se recharger

Un peu comme une pile, une séance de magnétisme permet donc de se recharger. Jean-Luc Bartoli va plus loin : « Pour les personnes qui avancent en âge, il est conseillé de faire environ trois  séances par an pour récupérer la force vitale et mieux faire face aux virus et bactéries. Selon le même principe, tout le monde peut faire une séance préventive aux changements de saison, au printemps ou à l’automne. »

Mais une séance aide aussi à rééquilibrer les pôles de notre énergie. Jean-Luc Bartoli précise : « En période d’examens, il est intéressant de pratiquer une séance de magnétisme pour mieux se recentrer et permettre à l’énergie de circuler. Lorsqu’on étudie beaucoup, elle a en effet tendance à rester concentrée au niveau de la tête. » Bref, nous avons tout intérêt à envisager le magnétisme de façon large et pas seulement quand un organe appelle à l’aide.


source : http://www.principes-de-sante.com
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5/3/2017 0 Commentaires

les troubles des conduites alimentaires et l'hypnose

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Qu'est ce que la boulimie? "La boulimie est défini par l'absorption compulsive d'une quantité excessive de nourriture en une seule prise, et d'une manière répétitive dans le temps." C'est une sorte de gavage en un temps record qui ne s'arrête que lorsque la personne se sent au plus mal, prête à exploser. "Elle est accompagnée de méthodes compensatoires pour prévenir la prise de poids, telles que les vomissements, la restriction alimentaire (jeûne) et son contrôle excessif, la prise abusive de laxatif, de diurétiques et le sport intensif." Toutes les personnes boulimiques n'ont pas recours aux vomissements, en effet on distingue deux catégories:
  • la boulimie avec vomissement 
  • la boulimie sans vomissement appelée aussi hyperphagie boulimique. Elle est caractérisée par une ingurgitation maximale et compulsive d'aliments, mais elle n'est pas accompagnée de méthodes compensatoires.
L'hypnose est un outil très efficace qui facilite le travail et s'inscrit dans un accompagnement global de la personne. L'hypnose permet des connexions et des déprogrammations nécessaires, en l’occurrence pour la boulimie, reprogrammer l'inconscient. Les comportements boulimiques sont à l'origine issues d'une adaptation pour faire face à des difficultés, malheureusement à force de répétitions, ils s'inscrivent à la longue dans le cerveau, et deviennent des conditionnements qu'il s'agira de désapprendre, en y programmant autre chose. La nouvelle programmation sera alors toujours orientée vers un gain positif et gratifiant pour la personne, par exemple une silhouette redessinée, un bien-être ou un plaisir retrouvé.
Mais pour autant, l'hypnose n'utilise pas de baguette magique! L'engagement et l'implication de la personne doivent être suffisamment conséquents et viser des objectifs précis et réalisables. L'apprentissage de l'auto-hypnose est fortement recommandé pour la suite afin de permettre à la personne de modifier peu à peu ses comportements en les expérimentant dans sa vie quotidienne.


Les grandes étapes de l'accompagnement en hypnose:
  • Réguler les crises compulsives
  • Renouer avec le plaisir de manger
  • Reprogrammer la sensation de satiété
  • Retrouver une meilleure estime de soi
  • Travailler sur la gestion des émotions
  • Retrouver un poids stable
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    Aurélie Pancrate

    Psychopraticienne et Hypnothérapeute à Nogent sur Marne

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